Aujourd’hui, un tribunal de Denver a fini par donner raison à la chanteuse Taylor Swift qui accuse David Mueller, l’ancien DJ d’une station de radio, de lui avoir touché les fesses lors d’une séance photo en 2013. La fameuse photo de “l’agression” est ici.
La cause avait débuté en septembre 2015 lorsque le DJ a intenté une poursuite envers la chanteuse, sa mère ainsi que son manager pour avoir causé son licenciement de la station de radio de Denver. Il demandait trois millions de dollars de pertes de revenus et indemnités. Taylor Swift avait alors contre-attaqué en l’accusant d’agression sexuelle. Elle ne demandait qu’un dollar symbolique qui aurait “une valeur incommensurable qui donnerait le message […] que chaque femme décide de ce qu’elle fait de son corps.” , expliquait Doug Baldridge, l’avocat de T-Swift
Il visait également la mère de la chanteuse, Andrea Swift, et son manager, Frank Bell, en les accusant d’avoir provoqué son congédiement et ruiné sa carrière radiophonique.
Vendredi dernier, le juge William Martinez avait rejeté les allégations de David Mueller envers Taylor Swift, clamant que son parti n’avait pas su démontrer qu’elle avait provoqué son licenciement. Par contre, sa plainte envers Andrea Swift et Frank Bell tenait toujours.
Le manager ainsi que le supérieur direct de Mueller en 2013, Robert Call, ont tous les deux déclaré à la barre que Bell n’avait jamais demandé le renvoi de Mueller.
Les juges ont tout de même toujours la tâche de délibérer si Frank Bell a réellement participé au renvoi de Mueller et si ce dernier mérite un dédommagement.
*
On peut aussi se souvenir de la grosse chicane entre Taylor Swift et Katy Perry.
[Via TVA Nouvelles et Fuse]