Panic! At The Disco était de retour à Montréal, hier, près de 6 ans après leur dernière visite au Métropolis. Même si Brendon Urie était le seul membre fondateur de P!ATD présent, il a réussi à mettre une ambiance électrique tout au long du spectacle.
Hier soir, le groupe Panic! At The Disco était au Métropolis dans le cadre de leur tournée Too Weird To Live, Too Rare To Die! Brendon Urie et son groupe étaient en super forme et ont joué un peu de tous leurs albums, plaisant aux vieux fans autant qu’aux nouveaux.
Panic! At The Disco a bien changé depuis la création du groupe en 2004. N’ayant plus que Brendon Urie (voix) qui formait le band “original”, on a quand même pu sentir l’énergie l’authenticité qu’on peut entendre dans A Fever You Can’t Sweat Out. D’ailleurs, le setlist de la tournée Too Weird To Live, Too Rare To Die! inclut les meilleures chansons tirées de tous les albums du band, une sorte de “greatest hits”. Brendon était super en forme, et parfait vocalement. Le show était parfaitement bien organisé, les chansons s’enfilaient rapidement, accompagnées de projections et d’éclairages qui mettaient l’ambiance pour chaque pièce.
Vraiment, tout était pensé et ça a fonctionné. Les fans étaient captivés par le charismatique Brendon Urie, qui, au grand plaisir de plusieurs, enleva son chandail durant les dernières chansons. Avant de jouer I write Sins not Tragedies, probablement une des chansons les plus connues du band, il s’est même permis de s’allumer un joint sur le stage et de le partager avec son band. Ça contrastait vraiment avec l’organisation parfaite du show, mais étant donné que c’était tant inattendu, ça a totalement enflammé la foule pour la dernière chanson. Bref, show d’hier a satisfait les fans, autant les nouveaux que ceux qui aimaient le band dans ses débuts, avec un setlist idéal, des jeux d’éclairage incroyables et le charisme incomparable de Brendon Urie.
Photos par Maëlle Ramsay.