C’est le Bureau d’enquête du Journal de Montréal qui a contacté Olivier Primeau dans les derniers jours. Près de 10 fournisseurs étaient encore en attente de paiement pour des services rendus en 2019. Bien avant la Covid.
Olivier Primeau a été assez ouvert par rapport aux derniers et aux impacts financiers. Il mentionne aussi qu’il n’est pas aussi fortuné que l’image publique qu’il choisit de projeter.
La situation avec les fournisseurs à qui il devait de l’argent, principalement de petits fournisseurs, est sur le point de se régler.
Primeau se confie sur la situation et sa situation financière :
“En ce moment, c’est très difficile monétairement. […] L’événementiel c’est un luxe pur et dur. Peut-être que ça va repartir, mais j’ai vraiment hâte de voir quand.
Ça me coûte environ un 300 000 $ de coûts fixes par année plus les salaires. En chiffres absolus, c’est énorme. Il faut qu’on l’absorbe.”
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Saison 2021
Olivier Primeau a aussi été réaliste par rapport aux spectacles et aux festivals en 2021. Selon lui, il n’y aura rien au Québec en 2021. Il regarde maintenant du côté de 2022.
Primeau est aussi impliqué dans les boissons Beach Day Everyday ainsi que l’alimentation avec des poutines congelées et l’ouverture de restaurants.
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Il est aussi revenu sur la controverse des articles à 5$ pour son blogue. Il a mentionné que tout était sur pause et qu’il revoyait le modèle de son site web.
L’entrevue complète est ici.
[Via Journal de Montréal]