Hiver pénible, déprimant et… infectieux? Rien de mieux qu’une ponce de gin et la feel good musique de How Sad.
Découverte musicale #26 : How Sad
Avant tout, toutes mes excuses pour le silence de la semaine dernière et le retard de cette semaine…
J’ai été attaquée pas un virulent virus communément appelé «grippe d’homme» et l’assaut fût fatal.
Si bien que j’ai passé la semaine dernière dans mon lit à faire de la fièvre, pleurnicher, avoir mal au moindre muscles de mon corps, sans parler des maux de tête, gorge, oreilles etc… et le pire dans tout ça, c’est que je ne suis toujours pas guérie.
Le virus a délaissé mes muscles pour se réfugier dans mes sinus et ma gorge… me privant aussi de ma voix…
Après plus d’une semaine sans réel progrès, un rendez-vous chez le médecin s’imposait. Verdict : Sinusite et laryngite. Définitivement un beau combo.
Bref… il y a tout de même des aspects positifs à être clouée au lit… Dormir, réfléchir, regarder la vidéo des inconnus qui s’embrassent et avoir le goût de frencher (et ainsi propager mon virus à la planète entière)… NOT.
En fait, il n’y en a pas vraiment d’aspects positifs à être malade. Je suis impuissante, larve, aucunement productive et ça me fait c a p o t e r.
Un ami m’a toutefois fait découvrir How Sad, pendant ma convalescence. Une formation Montréalaise qui a presque plus de bienfaits que mes antibiotiques et ma cortisone. Vraiment, un son qui fait du bien…
Quand j’ai entendu How Sad pour la première fois j’ai tout de suite su que ce groupe est de la même trempe que les grands du indie pop de ce monde. La formule est là.
Et le cerceau derrière cette formule c’est Harris Shper. Il y a un an et demi, seul dans sa chambre il a bricolé les chansons d’un premier EP Indian Summer où il joue, seul, tous les instruments. Des musiciens se sont ensuite greffés à lui pour les différents concerts.
D’ailleurs, How Sad cumule les performances à de nombreux festivals comme Pop Montréal, NXNE et Sled Island. Ils sont actuellement à Austin au Texas pour SXSW où ils auront l’occasion de se produire à quelques reprises.
Aucune autre date n’est à l’agenda pour le moment, mais il y à fort à parier qu’on aura l’occasion de les voir sur différentes planches cet été. D’ici là, vous pouvez vous procurer/écouter le EP ici…
Pour me faire pardonner voici un bonus cette semaine… (et je reste même dans la thématique de l’été indien), la musique de la jeune Lauren Malyon AKA Lyon. Jolie et talentueuse… À surveiller!
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