Le Festival d’été de Québec présentait son annuelle soirée carte blanche, hier soir, alors que Salebarbes était la tête d’affiche sur les plaines d’Abraham.
La soirée carte blanche de Salebarbes au FEQ a commencé bien avant la prestation du groupe. C’est une soirée complète qui avait été montée sur mesure avec Menoncle Jason, Les Hay Babies et Salebarbes sur les plaines.
C’est Aliocha Schneider qui avait été annoncé comme première partie de cette soirée lors du dévoilement de la programmation du FEQ en février dernier. Le chanteur de Ensemble était finalement la tête d’affiche à la scène de Place D’Youville hier soir. Cela a donc donné droit à une immersion acadienne sur les plaines le temps de quelques heures.
Il y a également eu un tintamarre sur les plaines dès le changement entre les Hay Babies et Salebarbes. Produit par Machine de Cirque, cela a fait une parfaite transition, sans réelle pause, entre les deux derniers artistes de la soirée. Il y avait même le Bonhomme Carnaval sur scène qui s’est adressé à la foule pendant ce tintamarre de 20-30 minutes.
D’ailleurs, Salebarbes a commencé sa prestation dès 20h55. C’est inhabituel de voir cela sur les plaines, mais Salebarbes voulait vraiment jouer pendant 2h00. C’est exactement ce qui s’est passé avec un long et complet setlist qui comprenait tous les hits comme Gin à l’eau salée, Good Lord, Les Haricots et autres.
Mention aussi à Zachary Richard qui a été l’un des moments forts de la soirée comme invité de Salebarbes. S’il semblait un peu incertain dans sa démarche en arrivant sur scène, il était tout en voix pour l’occasion. Le chanteur de 74 ans a vraiment fait lever la foule avec L’arbre est dans ses feuilles.
Parlant de la foule, c’est encore une bonne foule qui s’est présentée sur les plaines pour la soirée carte blanche. Malgré que c’était un lundi soir, la température et la grève du RTC, c’est plus que bon d’avoir attiré autant de festivaliers hier soir.
Toutes les photos de la soirée carte blanche de Salebarbes au FEQ 2025 sont à voir dans la galerie au bas de l’article.
[Crédit photo : Philippe Clavet]
