Jennifer Lawrence parle pour la première fois de ses photos nues hackées

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À la fin du mois d’août, plusieurs célébrités féminines, avec Jennifer Lawrence en tête, se sont fait hacker les photos nues qu’elles avaient dans leurs cellulaires. Pour la première fois, aujourd’hui, J-Law a commenté ses photos, affirmant qu’elles étaient vraies et que c’était un crime sexuel.

Dans une longue entrevue avec le Vanity Fair, où elle fait la une, Jennifer Lawrence parle en long et en large de ce scandale.

La nouvelle flamme de Chris Martin de Coldplay affirme qu’elle était terrifiée de comment ces photos allaient affecter sa carrière.

Elle a poursuivi en disant que ce n’est pas parce qu’elle est une actrice connue que les gens ont le droit de faire cela. C’est son corps et elle devrait avoir le choix de faire ce qu’elle veut.

Elle réaffirme aussi que ce n’est pas juste un scandale, mais bien un crime sexuel et que les lois et la façon dont les gens pensent doivent changer.

Jennifer Lawrence avance même que toutes les personnes qui ont regardé les photos sont coupables du crime. Même ses amis qui lui disent qu’ils ont regardé les photos.

L’actrice de 24 ans a aussi révélé qu’elle n’a pas sorti de communiqué plus tôt, car elle était trop en colère ou qu’elle pleurait lorsqu’elle essayait d’en faire un. J-Law a aussi affirmé que ses photos avaient été prises lorsqu’elle était en couple depuis 4 ans et que, étant donné qu’ils étaient souvent loin de l’autre, son chum allait soit regarder de la porno ou la regarder, elle. De là les nombreuses photos.

Elle avoue aussi que, peu importe l’argent qu’elle fait avec The Hunger Games, le coup de téléphone à son père pour lui annoncer la nouvelle a été atroce. Au moins il était en train de jouer au golf et il était de bonne humeur.

Jennifer Lawrence, Kate Upton et Ariana Grande avaient été les premières à se faire hacker les photos nues qu’elles avaient dans leur cellulaire. Rihanna a ensuite été la prochaine victime, avant que Cara Delevingne, Anne Kendricks et Jennifer Lawrence (de nouveau) soient au centre d’un autre hacker.